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QUELQUES EXTRAITS CHOISIS DE LA REVUE DE PRESSE

Le sommeil du Lapin : "... 2 lapines cauchemardent sur l'avenir de la société. La pièce " le sommeil du lapin" s'installe dans la vitrine d'un musée imaginaire et nous offre un regard caustique sur le conformisme et l'inertie. ce spectacle est une fable futuriste, totalement hors références. une nouvelle forme de spectacle ancrée dans l'air du temps..." C.J. 24 Heures

Squeak : " Squeak en tant que spectacle global a des qualités artistiques et sensibles indéniables. il nous touche par ce qu'il met enscène: un monde de l'enfance à la fois douloureux et cruel, souffrant dans son enfermement et ne trouvant à résoudre ses tensions internes que par la mise à mort de l'Autre, l'intrus, qui par sa singularité, sa différence, devient vite intolérable." Evelyne Ertel pour l'édition no4 de l'Arsenic

L'OS : " A la fois conte fantastique et science fiction, l'Os met en scène une quête universelle, celle du bonheur. Si l'on tremble ces jours à l'Arsenic c'est de stupeur et de rire. pour la 3ème fois, l'un des collectifs les plus stimulants du moment, propose un objet théâtral roboratif et singulier. les futés du Coût du Lapin n'ont peur de rien.." Marie-Pierre Gennecand, Le Courrier

Médée Kali et le tigre bleu de l'Euphrate : "Mise en scène dépouillée et précise, tendue comme une toile épurée ponctuée de signes, Images vidéo et lumières soignées tracent un chemin sans entrave à l'écriture puissante et riche de Laurent Gaudé. Exigeant et saisissant. Lionel Chiurch, Tribune de Genève /

..."Avec Le petit prince écarlate le trio de metteurs en scène nous livre un spectacle de très haute tenue, nourri des affinités et disciplines de chacun. saisissant et puissant . le jeu est enrichi d'une maîtrise remarquable, du mouvement du geste et de l'espace." Khadidjy Sahli, Le Temps

Romance, proposition N01 : A House full of Tigers : " ...le texte qu'on voudrait moins rare est excellent. Ciselé. La gouaille argotique de Valérie Liengme qui se tricote une cagoule de Pussy Riot devant un poste de télévision, parvient à questionner très justement la liberté des sexes dans un monde social qui dicte leur conduite.....Subissant un rigoureux travail de montage, des bribes radiophonique au venin machiste sont éructées tout au long de ce spectacle du feu de dieu, où la noirceur, con­juguée à l’ironie, convoque une galaxie d’archétypes féminins " Lucas Vuillemier, le Courrier

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